Naitre avec le printemps, mourir avec les roses,
sur l' aile du zèphyr nager dous un ciel pure.
Balancè sur le seur des fleurs
à peine écloses,
s' enivrer de parfums, de lumière et d' azur,
secovant, jeune encor, la poudre de ses ailes,
s' envaler comme un souffle aux voutes éternelles.
Voilà du papillon, le destin euchanté!
Il resemble au désir, qui jamais ne se pose.
Et sous se satisfaire, effleurant toute chose.
Retourne enfin au ciel chercher la valupté.
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